Diplômé de l’institut d’études politiques de Grenoble, Max Chauvin s’engage en 2008 dans la réalisation d’un doctorat en sciences de gestion à l’ESSEC (en codirection avec l’université du sud Danemark à Odense). Son travail doctoral est un bricolage théorique qui combine anthropologie du corps, sound studies, et perspectives critiques afin d’explorer les dimensions esthétiques, politiques, épistémiques, et spirituelles de la consommation sonore dans la communauté métal.
Son post-doctorat à l’université Paris Dauphine (depuis 2014) lui donne l’occasion de poursuivre ses travaux sur la sociomatérialité du son. Il y creuse notamment les relations existant entre son, espace, et pouvoir dans les milieux artistique, domestique et hospitalier.
Travaux